Iglbu, dag 2!
Réveil en fanfare ou presque, après une nuit bien calme ... ça donne ça ;-)
Et bien sûr, une fois le petit déj avalé, la vaisselle faite et la cuisine rangée (pour preuve!):
... les djeuns ont voulu aller chercher les myrtilles ... sur le toit, c'est beaucoup plus rigolo!
On l'aurait fait aussi hein ...
C'est vrai que la vue est pas mal depuis là-haut:
Au programme pour la suite, scie et hache, sans perdre aucun doigt, un miracle sans doute dû à la constante-surveillance-qui-rigole-pas:
"Et que ça saute!"
Pour leur défense, les djeuns ont été assez efficaces, plus que nous en tous cas. Tas de bois renouvelé, il est donc temps d'aller pêcher! On prend les mêmes et on recommence: carte, boussole, et cannes à pêche, la fine équipe au guidage, et cette fois-ci on vise un grand lac, derrière le sommet. Facile.
Bien entendu, desescalade puis escalade droit dans la pente jusqu'au sommet, histoire de repérer ce lac en altitude:
... et puis aussi d'admirer le paysage à sa juste valeur :-)
Le sommet visé est en fait un plateau, on s'est donc complètement ratés, du coup on cherche n'importe quoi susceptible d'abriter des poissons ... Bon, là, c'est un peu court quand même :
Heureusement, quelques minutes plus tard ...
Le lac parfait, et un prof particulier pour enfin nous expliquer comment lancer la canne :-)
Bref, maintenant qu'on sait pêcher, il faudrait qu'on ramène du poisson, mais il parait que c'est la phase suivante ... Wait and see ... :-)
Pas de méchoui non plus, et pourtant!, on s'est contentés de discuter en norvégien. Retour par le même chemin ou presque, on a failli à nouveau se perdre:
Bref ... une fois rentrés à la cabin (avec nous les histoires finissent toujours bien!), écriture du koiabok, et oui, nos djeuns sont aussi poètes à leurs heures ;-)
no comment ...
Dernier coup d'oeil:
... et nous sommes à nouveau repartis à travers la forêt norvégienne pour essayer de retrouver la voiture. Première traversée:
... et bien sûr deuxième traversée. Ne nous demandez pas, on n'a toujours pas compris!
Une fois le retour à la voiture assuré (on avait retrouvé le chemin!), il fallait bien entendu trouver quelquechose pour pimenter le reste du week-end. Il suffisait de demander:
Deux ramasseurs de champignons, deux malades le lendemain ... Les mathématiques sont infaillibles ;-)
Ah ces jeunes! ;-)